Juridique
Par Jean-Pierre LLEDO Agissant ou laissant faire, la malfaisance des Juges. Cinq exemples récents. 1 – Peine de mort pour les terroristes. En réaction à la recrudescence du terrorisme falestinien qui désormais se pratique à l’arme à feu, et qui en un mois a déjà fait une vingtaine de morts parmi les civils, le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben-Gvir a appelé de ses vœux une loi visant à
Par Meïr Ben-Hayoun Elor Azaria est le militaire inculpé pour avoir tiré sur un terroriste blessé à terre. Des affaires d’exécution de terroristes neutralisés ont déjà eu lieu, notamment l’Affaire de l’autobus 300 en 1984. Comment cela s’est-il passé alors? Le 12 avril 1984, quatre Arabes de la Bande de Gaza prirent en otages les passagers de l’autobus de la ligne 300 faisant la liaison entre Tel-Aviv et Ashkelon. Ils étaient
Le Juge Ouzi Fogelman de la Cour suprême, a ordonné de suspendre les ordres de démolitions d’assassins arabes de la vague de terrorisme actuelle. On parle d’obstruction juridique à la lutte contre le terrorisme. Le Juge Ouzi Fogelman de la Cour suprême a émis aujourd’hui, jeudi 22 octobre, des arrêts de suspension temporaire pour une série de recours déposés par parents de terroristes s’opposant aux ordres de démolition des demeures
Par Haggaï Segal, traduction de l’hébreu par Méir Ben-Hayoun La peine de mort pour les terroristes est toujours prévue par le code pénal israélien. Haggaï Segal de Makor Rishon nous invite à un tour d’horizon de la non-application de la peine de mort aux terroristes dans l’histoire moderne d’Israël ; comment presque toujours, les assassins ont été libérés sans que les peines sévères de prison à perpétuité ne soient réellement appliquées.