Opinions
Jonathan ARFI, vous avez raté une occasion rêvée d’assumer avec honneur juif votre statut de Président du CRIF. En effet hier soir dimanche 19 mars à Paris, a eu lieu une soirée en l’honneur du défunt Jacques Kupfer, zal, le dirigeant du Bétar, grande figure du sionisme de France, accessoirement ancien membre du bureau du CRIF. Cinquante-quatre organisations antisémites de soutien à l’ennemi dit “palestinien” avaient menacé et
Par Jean-Pierre Lledo, source A propos de l’Emission à France Culture avec Denis Charbit Récemment, tandis que le Hamas envoyait sa 4000ième roquette sur la population israélienne, principalement du Sud, et qu’à l’intérieur d’Israël, un mouvement pogromiste savamment orchestré par les militants des partis arabes nationaliste, islamiste et communiste, tous unis par la sainte cause de la chasse au Juif aux cris de Itbah Yahoud ! (Egorgez le Juif !), Denis Charbit,
Par Pierre Lurçat Avec l’autorisation de l’auteur: source Robert Badinter fait beaucoup parler de lui ces temps-ci. Il a récemment publié un livre très remarqué sur sa grand-mère, Idiss. Et il vient de lancer un “cri de colère” contre l’antisémitisme. Avec une vitalité peu ordinaire, à 91 ans, M. Badinter découvre – mieux vaut tard que jamais – la réalité de l’antisémitisme en France. Mais ce cri tardif m’a remémoré
Par Yéochoua Sultan Qu’arrive-t-il donc au célèbre «hebdomadaire israélien des francophones», pour ne pas le nommer? Comment peut-il poser sur sa première de couverture une question aussi peu crédible au regard de la réalité sur le terrain? Pour ceux qui ne l’auraient pas vue, on peut lire en haut de page : «Arabes et Juifs : une coexistence possible?» Admettons que le titre comporte tout de même un point d’interrogation,
Dans le flot des réactions à la déclaration du Président Donald Trump sur Jérusalem capitale de l’Etat d’Israel, il est primordial de comprendre pourquoi on ne peut pas accepter les propos voulant céder sur une partie quelconque de Jérusalem à l’ennemi arabe dit “palestinien” et d’en saisir le caractère délictueux. Ces approches ne sauraient se voir accorder la dignité “d’opinions”. Nous avons retenu les interventions de Frédéric Encel, Dominique Moïsi
Par Meïr Ben-Hayoun A Tel-Aviv il y a quelques jours, des demeurés ont manifesté pour la Syrie ensanglantée. Ils ont ramassé 1/2 million de shekels (?!) pour les “pauvres enfants syriens”. Le prétexte de l’image idolâtrée de l’enfant martyre servant d’alibi pour les fausse pitié et fausse piété paralysant toute capacité de jugement et de réflexion. Cette propension à se forcer à ressentir de la pitié pour les Syriens alors
Par le docteur Martin Sherman Paru dans le Jérusalem Post le 17 décembre 2015 Traduit en français par Jean-Pierre Bensimon (source) Bernard Henri Lévy fait partie des sujets que la diplomatie israélienne devrait prendre en charge. Ce serait beaucoup plus judicieux que de s’intéresser à tel ou tel homme politique en exercice, surtout hors des États-Unis.”“Vous combattez le djihad, oui. Mais n’avez-vous pas greffé sur le combat contre le djihad,
Une bonne fois pour toute, le problème ne consiste pas à parvenir à un compromis, comme si nous faisions des gestes en faveur des Arabes et que s’ils faisaient des gestes en notre faveur, le problème sera solutionné. Par Baroukh Marzel, traduit pas Meïr Ben-Hayoun Vingt-cinq ans, c’est toute une génération, une période suffisamment longue pour avoir de la perspective et observer les transitions profondes intervenues durant ces années. En
Ces dernières semaines, l’accusation sans fondement de meurtre proférée contre toute une frange de la jeunesse des implantations, accusation qui a fait pratiquement l’unanimité depuis le Chef du Gouvernement en passant par le Président, par le Ministre de la Défense par les représentants de tous les partis politiques, y compris Habayit hayéoudi. La presse de droite et la presse tartuffienne (Hamodia édition française entre autres) , en passant aussi par certains rabbins
Par Meïr Ben-Hayoun En ce moment, une proposition de loi de condamnation à mort des terroristes occupe le débat public en Israël. Le Premier ministre Netanyahou fait tout pour enterrer ce projet législatif et qu’il ne soit pas soumis à la Knesset en dépit de prises de position favorable au sein de son parti le Likoud. Non pas que notre Premier ministre répugne à l’idée de la condamnation à mort des